La Cie PEU IMPORTE explore depuis de nombreuses années le choix des
mots et cela a donné entre autres quelques textes et pièces de théâtre.
C’est alors qu’un beau jour PEU IMPORTE s’est retrouvée devant la
frontière des mots, et qu’ELLE a commencé à se demander si il y avait
quelque chose avant les mots, quelque chose entre les mots et le silence,
quelque chose avant le verbe…
En s’interrogeant sur ces questions, PEU IMPORTE a été amené à
découvrir Charles Nodier (1780-1844) qui, affirme avoir trouvé l’embryon
universel de toutes les langues.
Il faut ajouter aussi – eu égard à la vérité - que d’autres auteurs affirment
que Nodier est allé trop loin dans son affirmation.
Mais enfin, quoiqu’il en soit, PEU IMPORTE, aidée d’autres auteurs et ouvrages, sera ravie de partager avec vous cet« ÊTRE » en devenir qui n’est pas encore un MOT…